Légende
Dix jours après le début du siège, l'ennemi montra ses vraies couleurs aux habitants de Château Valdemar. Jusqu'alors, ils avaient seulement testé les défenses des assiégés, envoyant de petits groupes prendre les murs d'assaut, gardant note des faiblesses et des angles morts du vieux fort. Mais par la dixième nuit, une attaque générale fut lancée, révélant pour la première fois aux défenseurs l'étendue de la bassesse de leurs attaquants. Plutôt que de mener une guerre respectable, l'ennemi avait grossi ses rangs en recrutant une horde de goblin. L'emploi de mercenaires goblins était un signe de malveillance clair, puisque les sinistres créatures étaient réputées pour s'abaisser au cannibalisme envers leurs prisonniers. Se rendre honorablement n'était tout simplement plus une option. Clairement, les attaquants espéraient presser leur avantage pour une victoire rapide, les petits monstres offrant le double avantage du nombre et de pouvoir grimper les murs sans échelles avec leurs doigts griffus. Toutefois, le plan ne se déroula pas exactement comme prévu.
Au premier signe de goblins parmi les forces ennemies, la panique s’empara de la plupart des habitants du château. Tous savaient qu'une telle horde signifiait la mort assurée... si elle parvenait à prendre les murs. Alors que les défenses se faisaient déborder par la marée verte, une troupe de guerriers disparates jaillit subitement de l'armurerie du seigneur, vêtus d'armures mal ajustées et armés d'épées produites en masse pour la conscription. C'était des palefreniers, des maçons, des garçons de cuisine, des servantes, des boulangères et même des scribes. La plupart avaient vu passer trop des saisons, ou pas assez, mais animés par l'énergie du désespoir, ces braves soldats d'infortune s'étaient répandus sur les remparts, prêtant main forte aux gardes et chevaliers surmenés au moment critique jusqu’à ce que l'attaque soit repoussée. Le lendemain matin, les goblins meurtris, déloyaux même à leur meilleur, avaient déserté le camp des attaquant, fuyant avec les réserves de nourriture de leurs anciens employeurs. Le siège était levé, cette victoire due au courage et à l'audace de ceux qui avaient choisi de prendre l'épée au moment crucial.
Description
L'épée du soldat est une arme polyvalente qui conviendra à une large panoplie de personnages en GN. Elle constitue un excellent choix pour l’achat d’une première arme de latex en raison de son design classique et indémodable. Cette épée cruciforme est particulièrement adaptée pour les personnages de guerriers issus du commun, tels les sergents d'arme, soldats, aventuriers et mercenaires en grandeur nature, mais saura s'adapter à plusieurs concepts plus sinistres en raison de sa couleur sombre. Elfes noirs, morts-vivants et démons peuvent tirer facilement profit de cette finition noire.
Quant à lui, ce fourreau en cuir doublé de velours est un accessoire spécialement développé pour les épées en latex de la gamme Athena des Ateliers Némésis. Il s'agit d'un fourreau étroit qui maintient l'arme fermement en place et procure une friction minimale avec le latex pour protéger de toute usure prématurée en GN. Fait de cuir teint et décoré de gravures laser, il s'agit aussi d'un accessoire élégant pour vos costumes de grandeur nature. Idéal pour tout guerrier, soldat, chevalier ou aventurier médiéval.
Caractéristiques épée
- Longueur : 100cm (40 po)
- Longueur de la lame : 80 cm (31 1/2 po)
- Pointe molle et résistante
- Tige en fibre de verrre flexible et robuste
- Latex et vernis de haute qualité
- Mousse EVA
- Garantie de 2 ans sur les défauts
Caractéristiques fourreau
- Longueur : 33 po (83 cm) - Longueur de lame
- Largeur : 3 1/4 po (8 cm)
- Largeur de ganse de ceinture : 4 po (10 cm)
- Poids: 615 gr
- Conçu pour les épées à lame droite de la gamme Némésis Athena telles que l'Épée du Soldat
- Ambidextre
- Gravure laser
- Velours protecteur à l'intérieur
- Quincaillerie antique
- Cuir 8-9 oz, cuir 5-6 oz, cuir 4-5 oz
Fabriqué à la main au Québec, Canada, par les Ateliers Némésis